lundi 2 avril 2012

Anne



On a beau mesurer la lumière, une peau a toujours ce petit quelque chose d'étonnant qu'une cellule ne peut prévoir, ni en incidence, ni en réflexion.

6 commentaires:

muriel a dit…

L'intensité du noir et soudain l'éclaircie...Très beau...

Pascal Bodin a dit…

Merci Muriel, cette clarté m'a étonné, je ne l'ai perçue ni à l'œil ni à la mesure, c'est le film qui l'a révélée.

Grégoire a dit…

Une silhouette tout en douceur, tempérée par la détermination du regard.
J'aime beaucoup les courbes de la tête de la nuque qui ne sont pas cachées par les cheveux.
Belle image.

Pascal Bodin a dit…

Merci Grégoire, oui son regard est un peu la pierre angulaire de ce portrait :-)

Le Journal de Chrys a dit…

Un blog réjouissant que je viens de découvrir!!!

Merci!

Pascal Bodin a dit…

Merci Chrys et aussi pour le lien vers mon petit blog :-)